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Mistral, Frédéric (1830-1914)
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Fils de ménagers de Maillane, il suit l’enseignement du Collège royal d’Avignon et passe son baccalauréat en 1847. Poussé par sa famille, il étudie le droit à l’Université d’Aix de 1848 à 1851. Il y découvre l’histoire du Comté de Provence, et du provençal. Après avoir été licencié de droit, de retour à Maillane, il crée en 1854 avec Joseph Roumanille, rencontré au pensionnat Dupuy d’Avignon avant son baccalauréat, et cinq autres poètes, le Félibrige. Association qui a pour but de valoriser la langue d’oc, le Félibrige s’appuie sur les œuvres de Frédéric Mistral qui tracent sa théorie : le « Tresor dóu Felibrige » (1879-1887), établi par Frédéric Mistral, se veut le dictionnaire le plus riche et le plus fiable du provençal des langues d’oc. En 1891, il fonde son journal entièrement en provençal l’«Aiòli ». Toute son œuvre est écrite en provençal et vise à réhabiliter la forme du chant épique. C’est notamment le cas de son œuvre récompensée du Prix Nobel de littérature, « Mirèio » (« Mireille »), publiée en 1859, long poème en douze chants, puis de « Calendau », composé entre 1859 et 1866. Après le succès de « Lou Pouèmo dóu Rose » (1896) et le prix Nobel de littérature (1904), Frédéric Mistral connait une grande popularité : une statue est érigée en son honneur à Arles en 1909, il est acclamé à Aix puis à Saint-Rémy-de-Provence en mai et septembre 1913, il reçoit même la visite du Président de la République Raymond Poincaré en octobre 1913.
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Belleudy, Jules (1855-1938)
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Jules Belleudy commence sa carrière de journaliste en 1875, à Marseille, à "L’Egalité", sous le pseudonyme de Jules Béranger. Il collabore à "L’Ordre social", au "Phare du Littoral" de Nice, avant de devenir en 1877 rédacteur en chef du "Journal du Midi" à Avignon où il expose ses opinions politiques républicaines, notamment après la dissolution de la Chambre le 16 mai 1877, suite à l’opposition de la Chambre républicaine au Président monarchiste Patrice Mac Mahon, ce qui lui vaut d’être condamné à un mois de prison. Il crée à sa sortie le 12 août "Le Réveil du Midi". De 1880 à 1910, il est successivement nommé sous-préfet d'Apt, de La Palisse, de Lodève et de Béziers, puis préfet de Lozère (1898-1901), puis de l'Ardèche (1901-1906) et de Vaucluse (du 7 janvier 1906 au 2 octobre 1910). Trésorier-payeur général d'Eure-et-Loir, à Chartres de 1910 à 1918, il se retire à Nice jusqu’à sa mort en 1938, d’où il publie de nombreux ouvrages sur la Provence.|A partir de son installation en 1906 à Avignon en tant que préfet de Vaucluse, il s’attache à la culture provençale où il découvre entre autres le Félibrige et Frédéric Mistral. Il entreprend l’étude de célébrités provençales, du XVIIIe siècle ou contemporaines, peintres, tragédiens, sculpteurs, poètes, sur lesquels il publie articles et discours, principalement dans la "Revue du Midi" (Nîmes), les "Tablettes d'Avignon et de Provence", le "Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art français" (Paris), et dans les publications des sociétés savantes régionales telles que les "Mémoires de l'Académie de Vaucluse" à Avignon et les "Mémoires de l'Institut historique de Provence" à Marseille. Par sa position officielle, il soutient artistes et savants, obtenant des subsides d’État pour l’entomologiste Jean-Henri Fabre, une reconnaissance posthume pour le sculpteur Victor Bastet, ou visitant et faisant la lecture au peintre Jules Chéret devenu aveugle. Il cherche à défendre le mécénat, et une politique culturelle publique ambitieuse et reconnaissant la richesse locale, rêvant d’un inventaire des gloires locales.
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Lourmarin (Vaucluse)
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Commune française du département du Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte-d'Azur. Le village se situe à la sortie d'une combe portant son nom, la combe de Lourmarin, passage entre le petit et le grand Luberon.|Au XIIe siècle, une forteresse est établie à l'entrée de la combe considérée comme passage dangereux. Le fief de Lourmarin dépend du comté de Forcalquier, qui est joint au comté de Provence au début du XIIIe siècle. Le château est reconstruit par Foulques d'Agoult au XVe siècle. A la fin du XVe siècle, une importante communauté de Vaudois (adeptes du valdéisme, une des hérésie médiévale qui s'est ralliée à la Réforme vers 1530) émigre des Alpes pour Lourmarin, qui devient un centre important de cette communauté. Le 18 avril 1545, 3000 Vaudois du Luberon sont massacrés et le village de Lourmarin incendié par les troupes dirigées par le seigneur d'Oppède, Jean Maynier. Les Vaudois survivants sont nombreux à repartir pour le Piémont. De même après la révocation de l’Édit de Nantes en 1685, poussent les huguenots (notamment de très nombreux viticulteurs) de Lourmarin à fuir vers les Pays-Bas. Le Lubéron et Lourmarin reste très imprégnés de ces épisodes des guerres de religion et le culte protestant y est très important.|L'histoire de Lourmarin au XXe siècle passe par la renaissance de son château qui, abandonné aux campements des gitans de passage vers lesSaintes-Maries-de-la-mer, est racheté en 1920 par Robert Laurent-Vibert. Il décide d'y accueillir ses amis, dont Henri Bosco, puis d'y faire créer une fondation et résidence d'artistes. Lourmarin devient un centre culturel intense, et le village attire également des auteurs confirmés comme Albert Camus qui achète une maison avec l'argent de son prix Nobel en 1957.
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Nice (Alpes-Maritimes)
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Préfecture des Alpes-Maritimes et deuxième ville de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Nice, à 30 kilomètres de la frontière franco-italienne, est successivement ligure, grecque, romaine, italienne, gênoise, provençale, et appartient au Royaume de Piémont-Sardaigne de 1388 à 1860. En 1860, par référendum, le Comté de Nice est rattaché à la France. Son développement s’est accéléré au XXe siècle sous l’effet de l’attrait touristique de la Côte d’Azur : le climat méditerranéen fait de Nice une station balnéaire et mondaine, attirant aristocratie anglaise et russe en premier lieu. Hôtels de luxe, casinos et villas, églises de nombreuses confessions sont construites. Le bord de mer devient la promenade à la mode, et prend le nom de Promenade des Anglais. Pour le service de ces touristes et pour la construction, une importante immigration fait croître la population niçoise de 52 000 habitants en 1872 à 143 000 en 1911, dont un quart d’origine italienne en 1896. Nice reste longtemps une ville d’immigration et notamment au moment de la décolonisation de l’Afrique du Nord, dans les années 50 et 60 avec le retour des Français du Maroc et d'Algérie et l'immigration des Pieds-Noirs d'Algérie.
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Avignon (Vaucluse)
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Située à la confluence du Rhône et de la Durance, chef-lieu du Vaucluse, Avignon, la "cité des papes", devient résidence pontificale dès 1309. Jean XXIII en fait le siège de la papauté quelques années plus tard et Avignon profite des constructions architecturales pour la cour et la chancellerie pontificale. La ville devient un centre important de l'Occident, politiquement, économiquement, et culturellement avec la bibliothèque pontificale, l'une des plus importantes du XIVe siècle. En 1377, Grégoire IX ramène la papauté à Rome et Avignon est administrée par un légat pontifical. Elle accueille à nouveau des papes lors du Grand Schisme (1379-1411). Avignon reste possession pontificale jusqu'à la Révolution française.
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Marseille (Bouches-du-Rhône)
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L'ouverture de Marseille, surnommée "La Porte de l'Orient", sur la mer Méditerranée en fait depuis ses origines une ville cosmopolite et d'échanges culturels et économiques avec l'Europe du Sud, le Proche-Orient, l'Afrique du Nord et l'Asie. Avec les innovations industrielles du XIXe siècle, mais aussi la fin de la piraterie barbaresque et les traités de libre échange dans les années 1860 et les conquêtes coloniales de la France, le port de Marseille prend d'autant d'importance : de Marseille de petites entreprises comme de grands compagnie maritimes importent produits coloniaux et font la liaison pour les voyageurs vers l'Afrique du Nord.
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Nîmes (Gard)
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Préfecture du Gard, Nîmes est située à quelques kilomètres de la mer Méditerranée et des montagnes des Cévennes, ce qui la place sur l'axe très fréquenté entre la basse vallée du Rhône à la plaine languedocienne et sur l'arc méditerranéen entre Marseille et Barcelone. Ville à la fois romaine, camarguaise, cévenole, languedocienne, provençale et hispanique, c'est un fief protestant depuis le XVIe siècle et un riche centre de production de tissus à partir du XVIIIe siècle. La fondation celte est transformée en colonie romaine en 27 av. J.-C. et est dotée de remparts et de nombreux monuments dont des arènes qui perdurent jusqu'aujourd'hui.
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Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône)
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La colonie romaine d’Aquae sextae est fondée en 122 av. J.-C. par la garnison du consul Gaius Sextius Calvinus pour protéger la route entre Rome et son allié, la cité grecque de Massilia et est dotée d’un complexe thermal, d’un théâtre, ainsi que d’un rempart. Elle devient la capitale de la Narbonnaisse deuxième au IVe siècle. Les comtes de Provence en font également leur capitale en 1189. S’y installent alors sous le roi René d’Anjou au XVe siècle un centre universitaire et une cour de justice. Après le rattachement de la Provence au royaume de France, en 1486, le gouverneur y réside et en 1501, y est installé le Parlement de Provence où se rassemblent les représentants des trois Etats et où sont votés les impôts. Après 1790, elle devient la sous-préfecture du département des Bouches-du-Rhône.
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Félibrige
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Fondée en 1854 au château de Fontségune, Vaucluse, par sept jeunes poètes provençaux : Frédéric Mistral, Joseph Roumanille, Théodore Aubanel, Jean Brunet, Paul Giéra, Anselme Mathieu et Alphonse Tavan, dans le but de promouvoir et faire renaître la langue provençale. L'une de leurs premières réalisations est en 1855 l'"Armana Prouvençau", almanach en provençal, puis les publications par Frédéric Mistral de "Mirèio" (1859) et du "Tresor dóu Felibrige", premier dictionnaire provençal-français embrassant les divers dialectes de la langue d'oc. D'abord centré sur le seul provençal, l'association a pris ensuite la défense de toutes les langues, s'organisant en 7 sections : Provence, Gascogne-Béarn, Périgord, Guyenne, Limousin, Auvergne-Velay et Languedoc, pouvant intégrer un nombre limité de membres tout d'abord, puis à partir de 1876, un nombre illimité de félibres mainteneurs, et des félibres Majoraux, dont le nombre est limité à 50.
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Provence (France)
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Provence (France)
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Ancienne province de France, né après la cession du Comté de Provence au royaume de France en 1486, la Provence historique est transformé en 1790 en trois départements, les Bouches-du-Rhône, le Var et les Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence). En 1793, s’y ajoute le département du Vaucluse, formé par Avignon et le Comtat Venaissin. La Provence géographique, plus vaste que l'ancienne province, est une région naturelle délimitée par le Rhône, la Drôme, la vallée de l'Ubaye, les Alpes maritimes et la mer. C’est cette acceptation qui délimite la région administrative de Provence-Alpes-Côte d’Azur, comprenant également le Comté de Nice rattaché à la France en 1860.
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Laurent-Vibert, Robert (1884-1925)
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Né en Savoie en 1884, Robert Laurent s’installe en 1887 avec sa famille en Guyane pour le travail de son père, mais suite aux difficultés d’adaptation au climat doit revenir en France avec sa mère, qui meurt en mai 1892. Elle laisse ses deux fils aux soins de son tuteur, l’industriel François Vibert (1846-1912), qui les adopte quand leur père meurt également en Guyane le 18 janvier 1894. L’aventure guyanaise lui laisse malgré tout un souvenir marquant et une grande curiosité dans sa scolarité à l’Ecole Ozanam de Lyon, où il rencontre Mathieu Varille, puis au Lycée Ampère où il rencontre Alphonse Prelle. Il grandit également dans l’influence de son second tuteur, Jean Vernardet, conducteur aux Ponts et Chaussées, grand érudit, qui se passionnait pour l’histoire préhistorique et l’histoire de la Gaule et pratiquait l’épigraphie. Il suit également l’enseignement d’Edouard Herriot au Lycée qui l’oriente vers l’Ecole Normale et lui transmet la culture littéraire classique. Il commence à écrire, publier dans de petites revues, s’intéresse à l’histoire des livres et de l’imprimerie, qui trouve une étape logique dans sa rencontre et de nombreuses collaborations avec l’imprimeur Marius Audin.|Il est admis à l’Ecole normale à Paris en juillet 1903, fait son service militaire et intègre l’Ecole en 1904, où il étudie l’histoire et en particulier l’histoire de la fin de la République romaine. En complément, il fréquente l'École pratique des hautes études, où il suit notamment les cours d’histoire littéraire de la Renaissance d’Abel Lefranc, animateur des études rabelaisiennes. Il sort agrégé d’histoire en 1907 et part ensuite pour l’Ecole française de Rome où il étudie l'industrie à la fin de la République romaine. Il accompagne son condisciple André Piganiol dans les fouilles de Minturnes et de sa région, territoire de la tribu des Aurunques, puis au printemps 1909, dans celles des ruines d’Haïdra en Tunisie. De retour en France, il occupe un premier poste de professeur d’histoire au lycée Rouget-de-Lisle de Lons-le-Saulnier, entre Pâques 1910 et juillet 1911.|Sous-lieutenant de la 8e compagnie du 22e régiment d’infanterie, puis lieutenant de la 6e compagnie en avril 1915, il est blessé autour du 6 octobre 1915 et évacué à Troyes. En janvier 1916, il est affecté à l’Armée d’Orient, à Salonique où il reste stationné jusqu’en octobre 1918. Il est attaché d’abord au ravitaillement civil, puis passe adjoint du sous-intendant Bonnier. Avec Henri Bonnier, il apprend à connaître la Macédoine et sa situation économique, et en prévision de l’après-guerre et de la reprise du commerce international, et avec l’objectif de placer la France en tête de ce commerce, il crée le Bureau commercial et publie de nombreux articles et documents dans le « Bulletin commercial de Macédoine » (septembre 1916-1919). Il crée à Salonique également la « Revue franco-macédonienne », dans l’optique d’améliorer l’image de la Macédoine auprès des Français, puis les « Cahiers d’Orient » à partir de juillet 1918, mais aussi une bibliothèque spécialisée sur la Macédoine. Il présente son analyse des rapports avec la Macédoine au sous-secrétaire de la Marine marchande Bouisson qui lui vaut de participer un temps au cabinet de celui-ci et aux conférences préliminaires de la paix à Spa et d’être délégué de la Commission Economique pour l’élaboration du traité de Versailles en 1919, puis Conseiller au Commerce extérieur.|En automne 1918, il est rentré en France définitivement, en dehors de quelques voyages temporaires par exemple en décembre 1919 au Maroc, ou au printemps 1923 et en 1924 en Egypte, en Syrie, en Palestine, en Turquie et en Mésopotamie, voyages dont il fait le récit dans « L'Orient en mai 1923 » et « Ce que j’ai vu en Orient ». Il s’intéresse toujours à l’Orient par le côté livresque, achetant en 1920 une importante collection de récits de voyages dans le Levant lors de la vente de la bibliothèque des Jésuites, dont il tire ensuite l’anthologie « Routiers, Pèlerins et Corsaires ».|Secondant son père adoptif à la tête de l’entreprise Pétrole Hahn depuis 1911, il lui succède après sa mort en 1912 et développe considérablement l’entreprise avec une politique très sociale. Dans cette optique, il organise et dirige le syndicat de la parfumerie à Lyon. En parallèle, il poursuit des œuvres intellectuelles et de mécénat, comme la restauration du château de Lourmarin, et une entreprise d’inventaire des monuments d’architecture Renaissance en Provence et Comtat Venaissin, qu’il ne peut mener à son terme suite à son décès le 26 avril 1925 survenu après un accident de voiture avec l’éditeur Georges Crès, sur la route de Givors (Loire).
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Bouchor, Maurice (1855-1929)
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Poète et auteur dramatique, Maurice Bouchor dessine et fabrique des personnages pour théâtre de marionnettes, pour lequel il écrit également des pièces, dont les paroles étaient dites ou chantées par lui-même ou ses amis. Ces pièces miniatures sur des sujets religieux, Tobie (1889), Noël (1890) et Sainte Cécile (1892), sont jouées à Paris au Petit-Théâtre des Marionnettes de la galerie Vivienne. Avec le musicien Julien Tiersot, il travaille à la conservation des chants populaires français et publie "Chants populaires pour les écoles" (1897). Il collabore également à la "Revue bleue", à la "Revue de Paris", à la "Revue socialiste" et à l'"Action morale".
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Arène, Paul (1843-1896)
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Après avoir obtenu sa licence de philosophie à Aix-en-Provence en 1863, Paul Arène est nommé répétiteur au lycée de Vanves, près de Paris. Il y fréquente les cafés littéraires et fait la connaissance de François Coppée, Catulle Mendès, Alphonse Daudet, avec lequel il collabore très étroitement (au point d'être par certains considéré comme le nègre d'Alphonse Daudet) pour les chroniques provençales publiées par "L'Événement", qui constituent ultérieurement le recueil des "Lettres de mon moulin". Il publie ses premiers articles dans « Le Journal » et « Le Figaro ».|Il abandonne l’enseignement en 1865 après le succès d’une petite pièce de théâtre de sa main, jouée avec succès à l'Odéon, "Pierrot héritier". En 1867, il s’attire des inimités en participant au « Parnassiculet contemporain » qui parodie les poètes du « Parnasse contemporain ». En 1868, il écrit ce qui est considéré comme son œuvre majeure, "Jean-des-Figues". Après la guerre franco-prussienne de 1870, à laquelle il prend part avec le grade de capitaine, il écrit pièces de théâtre, chroniques, contes, et poèmes, dont « Le Tors d'Entrays », « Le Clos des âmes », « Le Canot des six capitaines », « Au Bon Soleil », « La Gueuse parfumée », « La Chèvre d'or, « Les Ogresses », « Le Midi bouge » et « Domnine ». A partir de 1874, il partage son année entre Sisteron l’été et Paris le reste de l’année.|Inspiré et en relation dès son arrivée à Paris en 1863, avec Joseph Roumanille, Frédéric Mistral et Théodore Aubanel, il fédère ses amis méridionaux de Paris dans « La Cigale », puis organise en 1879 le Félibrige parisien, dont il sera le président. Il est élu majoral du Félibrige en 1884. Il dirige diverses revues félibriennes : « La Cigale », « La Farandole », « Lou Viro-Soulèu » et organise les Fêtes de Sceaux. En 1889, sa santé s’altère et il passe l’hiver à Antibes sur les conseils du docteur Charcot, et où il meurt en 1896.
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Pacon, Henri (1882-1946)
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En 1911, Henri Pacon obtient le diplôme d'architecte à l’École des Beaux-Arts de Paris. Après avoir participer à des chantiers de reconstruction suite à la Première Guerre mondiale, notamment à Reims, il se spécialise dans l'architecture domestique et la décoration. La plupart de ses réalisations, dans les environs de Paris, concerne une clientèle aristocratique, comme la duchesse de La Trémoïlle (rue Chardin et rue d'Ankara) en 1925-1927, ou Edouard de Rotschild, avec des écuries à Chantilly, achevées en 1928, ou une clientèle artistique et intellectuelle, — il construit par exemple le pavillon des Artisans français pour l’exposition des Arts décoratifs de 1925, ou la maison du romancier Jacques Chardonne à La Frette en 1926. |Cette même année 1926, il créé une agence, qui va prendre en charge notamment de nombreuses commandes de la Compagnie des chemins de fer de l'Etat, dont Raoul Dautry, le directeur à partir de 1928 veut changer l’image en travaillant avec des architectes extérieurs, ce qui lui permet de résister à la crise de 1930. Pour ces missions, Henri Pacon entreprend de nombreux voyages dans les pays européens, en Allemagne, et aux Etats-Unis, pour s’inspirer de réalisations s’insérant dans un même mouvement de rénovation du rail par les architectes. Il réalise ainsi la nouvelle gare du Maine, à Paris, les gares du Havre, de Chartres, Caen, Chaville, et la gare Saint-Lazare de Paris, et travaille au design des matériels roulants, de sorte qu’en 1935 lors de l’Exposition universelle de Bruxelles la quasi-totalité des objets présentés par la Compagnie des Chemins de Fer a été dessiné par Henri Pacon, dans un souci de simplification et épuration des lignes et des surfaces. Il poursuit ce souci de simplification dans la conception de logements pour le personnel du Réseau à Nanterre en 1931, et dans un projet de ville nouvelle près de Saint-Germain-en-Laye.
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Fondation de Lourmarin Robert Laurent-Vibert
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Le testament de Robert Laurent-Vibert daté d'avril 1923 lègue le château de Lourmarin à l'Académie des Sciences, Agriculture, Arts et Belles-Lettres d’Aix-en-Provence, avec la mission de créer une fondation devant achever la restauration, assurer l’entretien et la gestion du château, en développer la bibliothèque et les collections, et surtout accueillir jeunes savants et artistes et leur offrir les conditions matérielles pour développer leurs créations. La Fondation de Lourmarin Laurent-Vibert doit être administrée par un conseil de 11 membres, dont le Président de l’Académie d’Aix et dix administrateurs à vie désignés par Robert Laurent-Vibert parmi ses amis. Parmi les désignés, Georges Rémond, Alphonse Prelle, son exécuteur testamentaire, Edouard Aude, Mathieu Varille, industriel et lettré, Jean Comte, cousin de Laurent-Vibert, compagnon d’armes et administrateur de Pétrole Hahn, Claude Lecoq, veuve de Jules Lecoq, Noël Vesper, Henri Pacon, le peintre Beppi-Martin, le notaire de Lourmarin Me Adrien Bernard, mais pas Henri Bosco.|Laurent-Vibert, Robert (1884-1925)|La fondation est créée en 1926 et reconnue d’utilité publique par décret présidentiel du 31 août 1927. La première réunion du conseil reconnaît à Henri Bosco tous les droits des membres du conseil de la Fondation, sauf celui de prendre part aux délibérations et aux votes. Parmi les premiers pensionnaires, en 1929, figurent le peintre Louis Riou, Jean Grenier, grand ami d’Henri Bosco rencontré à Naples, qu’il a parrainé pour la Fondation, et qui mènera à son tour Albert Camus vers Lourmarin.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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Jouveau, Marius (1878-1949)
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Fils d’Elzéar Jouveau (1847-1917), musicien et chansonnier, collaborateur à l’« Armana prouvençau » et au « Brusc », Marius Jouveau est licencié ès lettres de langue et littérature italienne, et en 1910, passe une année à l’Institut français de Florence. Il a déjà commencé sa carrière d’enseignant en tant que répétiteur au collège de Manosque entre 1808 et 1900, puis au collège d’Arles de 1900 à 1913, à Digne et Aix en 1913, avant d’être nommé en 1920, après sa mobilisation de 1914 au 30 janvier 1919, professeur adjoint au lycée d’Aix. Il entre au Félibrige en 1907 et publie « Eléments de grammaire provençale et petit manuel de l’instituteur provençal pour la correction des provençalisme ». Il fonde la revue « Fe » et le mensuel « En terro d’Arle » (1907-1912), dirige la revue « Lou Felibrige » entre 1919 et 1945 et celle de l’« Armana Provençau », et fonde l’Escolo mistralenco à Arles.
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18
| 27,681
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[
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] |
[Sans titre]
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Photographie d'une route bordée d'oliviers. Retirage|Avignon ne s'étend au-delà de ses murailles médiévales qu'à partir du XIXe siècle. La ville est donc pendant l'enfance d'Henri Bosco largement entourée de campagnes, où la bourgeoisie avignonnaise se fait construire des "campagnes", de belles résidences entourées de grands murs, signalées par un portail et souvent une allée de platanes. C'est dans une de ses résidences campagnardes, le mas du Gage, à la limite entre le quartier de Monclar et le quartier de Baigne-Pieds plus proche de la Durance que sa famille déménage lorsqu'il a trois ans. Il fera le récit de son enfance dans cette campagne influencée par la Durance dans sa série des "Souvenirs" et en particulier dans le premier volume "Le Chemin de Monclar" paru en 1962.
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Avignon (Vaucluse)
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| 27,684
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] |
[Sans titre]
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Photographie d'une route. Retirage|Avignon ne s'étend au-delà de ses murailles médiévales qu'à partir du XIXe siècle. La ville est donc pendant l'enfance d'Henri Bosco largement entourée de campagnes, où la bourgeoisie avignonnaise se fait construire des "campagnes", de belles résidences entourées de grands murs, signalées par un portail et souvent une allée de platanes. C'est dans une de ses résidences campagnardes, le mas du Gage, à la limite entre le quartier de Monclar et le quartier de Baigne-Pieds plus proche de la Durance que sa famille déménage lorsqu'il a trois ans. Il fera le récit de son enfance dans cette campagne influencée par la Durance dans sa série des "Souvenirs" et en particulier dans le premier volume "Le Chemin de Monclar" paru en 1962.
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Avignon (Vaucluse)
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| 27,692
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[
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] |
[Sans titre]
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Vue du château de Lourmarin depuis l'arrière du village.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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| 27,693
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[
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] |
[Sans titre]
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Vue d'un des murs extérieurs du château, envahi de lierre. La photographie pourrait dater vue la présence de ce lierre, des débuts de la restauration du château.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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| 27,694
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[
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] |
[Sans titre]
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Vue depuis des vignes sur un pigeonnier et en arrière-plan le château de Lourmarin.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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| 27,695
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[
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] |
[Sans titre]
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Vue de la tour du château prise depuis la cour inférieure.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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24
| 27,696
|
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/7064db5aa7b49bb20234e934cb7c6aadfa100608.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Détail intérieur : chapiteau en applique, élément décoratif sculpté imitant un chapiteau de colonne.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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25
| 27,697
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[
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] |
[Sans titre]
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Vue de la tour du château, prise face à l'entrée depuis la cour supérieure.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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| 27,698
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[
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] |
[Sans titre]
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Vue du château depuis un pré au nord du château
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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27
| 27,699
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/41b9bca0245d767743d729465c5be44cae4523ee.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue du château depuis un champ au nord-est
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
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| 27,700
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/b1f6b0c02215eb89bf85296fa11351372be68188.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue du village de Lourmarin, avec au premier plan, le temple protestant, prise depuis la cour inférieure du château de Lourmarin.
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Lourmarin (Vaucluse)
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| 27,701
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/846ae8fa37d45f96a8fed7830c0d9913e01b66d9.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue du château depuis un champ au nord-est.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
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| 27,702
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/346efa8076d1471cdff0e741057b7dc41b1a7780.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue de la Tour ronde (tour à l'angle nord est) depuis un champ de cerisiers en fleurs. Le mur nord est couvert de lierre, la photographie date donc probablement du début de la restauration du château.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
31
| 27,703
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/ebeb0cca7076956da1ef1af82fe5e01b189f2b08.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue de la Tour ronde (nord-ouest) depuis le chemin d'entrée (sud)
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
32
| 27,704
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|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/ca8df4ff502de9093854f8b13a5649644e5faf9d.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue sur l'escalier entre les deux cours du château avec un bon de la façade sud.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
33
| 27,705
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/55b6e25d438dcb00ed73dbec0d6d9b70f9cad5f8.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/4e22529fbedbce1aa2842908a2c74663d2f1e29f.jpg"
] |
[Sans titre]
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Vue de la façade sud par le chemin extérieur à l'enceinte du château
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
34
| 27,706
|
ark:/17103/gdzh
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/6121ebef17dd2e1b0dc00fd9f87b98f5ddc99558.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue du château depuis le sud-ouest, avec le massif du Lubéron en arrière-plan.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château|Luberon (France ; massif)
| null | null | |
35
| 27,707
|
ark:/17103/gf03
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/2732dd7d116bfe112ada0bcdd11e0ad7de0deb15.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue du château depuis le nord-ouest et un champ d'oliviers
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
36
| 27,708
|
ark:/17103/gf1d
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/dc2e40225c6f4ca0c5b9fc74a36968d4f43aad6d.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Photographie de la tour nord-ouest
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
37
| 27,709
|
ark:/17103/gf2q
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/19abf4e82fa32a16dc7fdeeb1795de8f765a00df.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Vue du château depuis un champ au sud-ouest
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
38
| 27,710
|
ark:/17103/gf31
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/1e4df2bcd3766327bcc1e8a97c5c82ff1769bdb4.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Vue de la façade est du château. Sur cette photographie, se voit bien l'état de délabrement du château avec des murs incomplets, des toits manquants et le lierre sur le mur et la tour nord-est. La photographie date donc d'avant la restauration.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
39
| 27,711
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ark:/17103/gf4b
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/cb28d7eda38cfae75a61a27c53d80ccccbbd5c10.jpg",
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] |
[Sans titre]
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Photographie prise depuis le chemin vers l'entrée du château, côté ouest, montrant le mur d'enceinte et les tours rondes.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
40
| 27,712
|
ark:/17103/gf5n
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/f7815d91b132d4d4ae79174ba1d9c92a110b8537.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Vue d'une arche du château
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
41
| 27,713
|
ark:/17103/gf6z
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/7acf992d4eefcaabd634e77878e08622da0de8d1.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/08e798a4afc874db989acbfd97a5cf8ae8627198.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue d'une arche du château
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
42
| 27,714
|
ark:/17103/gf78
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/c912c55532244aeb40d24b077ee700a616423c3b.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Vue du château depuis le sud-ouest, avec le massif du Lubéron en arrière-plan.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château|Luberon (France ; massif)
| null | null | |
43
| 27,715
|
ark:/17103/gf8k
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/8207894e59e4aeb6ce6c427db2bfed33da21235f.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Vue du château depuis le toit (ou la terrasse) d'une maison du village de Lourmarin. Se distingue au premier plan quelques toits du village, au second à gauche, le temple protestant et au troisième plan le château.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
44
| 27,716
|
ark:/17103/gf9w
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/307ee71aa9065cfd34425527c00f5c3d71bb4b9b.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Photographie d'une fenêtre d'une des façade du château
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
45
| 27,717
|
ark:/17103/gfb6
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/187b3f00427ff12bd9a2af3765f83ee3532dca00.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Photographie du jardin intérieur du château, depuis le nord-ouest.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
46
| 27,767
|
ark:/17103/gfch
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/b0627bcc2280db6714434a99486b63b14445221c.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Vue de la façade ouest depuis un champ d'oliviers
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
47
| 27,768
|
ark:/17103/gfdt
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/13c5ffd77ac149e23e23789f84d060396affb912.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Vue de la façade nord du château. La façade quasiment entièrement recouverte de lierre et l'état du haut du mur entre la façade et la tour (à gauche de la photographie) date la prise de vue d'avant la restauration du château.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
48
| 27,769
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ark:/17103/gff4
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/0a5766d1257480b9b9cdb16d15886451f97dc4b1.jpg",
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] |
[Sans titre]
|
Vue de la façade sud et des cours du château.
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Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
49
| 27,770
|
ark:/17103/gfgf
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/4dd30284f69896807376a6c15b00fdcfebe83190.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/40f024d86b60248b8e3a770807df0946cc09bae4.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Photographie depuis l'angle sud-est de la cour inférieure, montrant le bassin de la cour inférieure, l'entrée et la tour ronde d'entrée.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
50
| 27,771
|
ark:/17103/gfhr
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/45b79c6f0c6dfc86f33c8707b9cc31a7c966654d.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/7f62569f8d01fcd1272f5b34b9d235605723c4a6.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Prise de vue aérienne du village de Lourmarin, du temple protestant et du château depuis l'est.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château|Lourmarin (Vaucluse)
| null | null | |
51
| 27,772
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ark:/17103/gfj2
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/fc3f8c82a6cda139de974171e84d6d336d75a6cd.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/bf9f739af25aba0be7290dfbca6d2c0abd40622f.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue de la Sallestre, grande salle de réception du château Renaissance, meublée, et de sa cheminée monumentale.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
52
| 27,773
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ark:/17103/gfkc
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[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/fe0557e0eb7d83b54872096a3504b0a25f889a24.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/e86b1da1e429e42d4ac1dcb6495047ec68d9a62b.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue de la Sallestre, grande salle de réception du château Renaissance, meublée, et de sa cheminée monumentale.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
53
| 27,774
|
ark:/17103/gfmp
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/9d1865e2c0a70b8f8571f6967561e1507e7e8f34.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/1c9944c71b084518672eb9f4dc321448d7f4532a.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue sur la cheminée d'une salle du château Renaissance, peut-être la Salle des Gardes, devenue la Salle des concerts aujourd'hui, meublée et décorée.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
54
| 27,775
|
ark:/17103/gfn0
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/5315366727dfd61d2783f8a488d85207f532c982.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/b6018aac5752d31cc8e90805e315facbc4bc99c2.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Photographie du mur extérieur de la salle de la Sallestre du château Renaissance.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
55
| 27,776
|
ark:/17103/gfp9
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/f06e0d38624c72b219f2e055325dd9df3ff0e6e2.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/bbb9acca696397f6374a3c491e17be113b9f3018.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue d'une salle du château, restaurée, meublée et décorée, et de sa cheminée monumentale. Probablement une des bibliothèques et salles de travail de la partie médiévale du château.|Retirage.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
56
| 27,777
|
ark:/17103/gfqm
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/5d0fdee5cb81a612f207fab6263b36a1d4796dfb.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/b70ed24c5873d1eb899b4214881e1ee8fcdf9097.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue d'une des bibliothèques et salles de travail de la partie médiévale du château, restaurée, meublée et décorée.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
57
| 27,778
|
ark:/17103/gfrx
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/31008f186c9018e051133d9ba0568719ba5d5bb4.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/8a89a04af75bcf48f201313b9a185eb4c210530e.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue d'une des bibliothèques et salles de travail de la partie médiévale du château, restaurée, meublée et décorée.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
58
| 27,779
|
ark:/17103/gfs7
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/9dfd999eb568450d3af87da1cbf20b998b8ef60a.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/0897cd430b8723a0c19dd058ca3d08cb985d0c8e.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue d'une des bibliothèques et salles de travail de la partie médiévale du château, restaurée, meublée et décorée.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
59
| 27,780
|
ark:/17103/gg67
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/046027bd44f7d0e179b43b5904a931e62cb3cac6.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/fff7e96c94d2c5af8ceb095e589ee07bfa489b7a.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/a7dec16de3ffdaabd3a4f201724653dc16051b13.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/4ea759e99a3fb86eb9557e156729d04c3b01384e.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Montage sur carton présentant deux photographies du château de Lourmarin vu du nord-ouest, avant et après restauration.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
60
| 27,781
|
ark:/17103/gg7j
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/02e735fb97e9d115f02c546ff80b0b91b53e611c.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/d597dd7a875023251dcd75a0c258995da8e6dd2a.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Photographie en couleurs du château de Lourmarin prise depuis le nord-ouest. Le verso porte un tampon avec des indications de développement dont la date octobre 1958.|Cette photographie a probablement été prise par les Bosco eux-mêmes.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
61
| 27,782
|
ark:/17103/gg8v
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/22c98c8e38ae2d842608926ebb7cb311ab310452.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/80c131d622c1fddfbc92f6390ad20089281d570f.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Photographie en couleurs du château de Lourmarin sous la neige. Le verso porte un tampon avec des indications de développement dont la date février 1963.|Cette photographie a probablement été prise par les Bosco eux-mêmes.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
| null | null | |
62
| 27,851
|
ark:/17103/gg95
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/6e7ecfcd6d345648cd314379d4cd4a6a72d0f7ee.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/e61df6bb85e520755f8091bee8d7f05aad3cd0ce.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Portrait d'Henri Bosco dans la loggia de la partie médiévale du château de Lourmarin.|Cette photographie a probablement été prise par les Bosco eux-mêmes.
|
Lourmarin (Vaucluse) -- Château
|
Bosco, Henri (1888-1976)
| null | |
63
| 27,852
|
ark:/17103/ggbg
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/b2e040d44d12a1b941dcfe8f56c9c146ab567731.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/fef24f81aec36ac7f3a672d2f35fd3f1a94e6852.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue de la façade ouest du Bastidon, depuis la restanque inférieure
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
64
| 27,861
|
ark:/17103/ggcs
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/76f7dffb148f3c8a9a9fc17bbf5d52dff037ded8.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/27f6f69eb45920d04dcafe5117030f818cbf205f.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue de la façade ouest du Bastidon|Porte au verso un numéro de développement 896K.
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
65
| 27,862
|
ark:/17103/ggd3
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/da370fd49501961ec6479c72caa3b1d9f182ab7b.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/c911d167d693f6d497b3d6585121921d12ef7836.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue de Lourmarin et du Luberon, depuis le Bastidon.
|
Lourmarin (Vaucluse)|Lourmarin (Vaucluse) -- Château|Luberon (France ; massif)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
66
| 27,863
|
ark:/17103/ggfd
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/31656ca9df05b200528acf08ea78e35306ba95d1.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/ecd023c9abdda9603ab92844224f0b8b62c50a05.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue de la façade ouest du Bastidon, depuis la restanque inférieure
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
67
| 27,864
|
ark:/17103/gggq
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/fae0b7dd805ad5f17d997fdb9db7583b8f9733e6.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/0d08bbd26c194ab5eb4f37d1b202a0d8121ce9c9.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue du côté nord du Bastidon
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
68
| 27,865
|
ark:/17103/ggh1
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/f11eee3aea1e4791f6db85fb6ae2bdf6894ef89c.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/4d879a5840606929d1ed1b0b9c30cbed4e2a1935.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue du côté nord du Bastidon
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
69
| 27,866
|
ark:/17103/ggjb
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/7ac23d43bc6ea20f53d0d5a0226fcd0bb511993d.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/089613cfb84fa2cc7985ba98e21fa310cc2bca60.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue de la façade ouest du Bastidon et du côté nord, depuis la restanque inférieure
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
70
| 27,867
|
ark:/17103/ggkn
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/c5610bcc4fadf97c989549b674d84d17476d3a37.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/78005ec065b1b2d7ce1e1107329559738768d886.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Photographie en couleurs de l'angle nord-ouest du Bastidon, prise depuis la restanque inférieure
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
71
| 27,868
|
ark:/17103/ggmz
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/339020fe44d07abc3196667d0901d4b61c2804c8.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/e8be7753a2f086e720f9bf8b9c0cae110e66e3bc.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Vue de la porte d'entrée du Bastidon
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
72
| 27,869
|
ark:/17103/ggn8
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/4c807fcaff3df2a7d96ddff01fd2e81bbf61eae8.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/f484bc444f46b467219c5a300e27114196b9e03e.jpg"
] |
[Sans titre]
|
Photographie de la table de travail d'Henri Bosco dans son bastidon à Lourmarin
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
| |
73
| 27,870
|
ark:/17103/ggpk
|
[
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/75fe1498f7a5ff69ded08fb1b77ab4d6c1e9ffa4.jpg",
"https://humazur.univ-cotedazur.fr/files/original/30779aa523fd8182933c61aee8a9210fdcb43b66.jpg"
] |
[Sans titre]
|
photographie d'une pièce du Bastidon portant au dos le numéro de tirage 000291.
|
Lourmarin (Vaucluse)
| null |
Bosco, Henri (1888-1976)|Bosco, Madeleine
|
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